EXIT! Krise und Kritik der Warengesellschaft Heft 11

Zusammenfassungen

Roswitha Scholz
FEMINISMUS - KAPITALISMUS - ÖKONOMIE - KRISE

Feministische Ökonomiekritik ist seit dem Krisenschub in der zweiten Hälfte der 2000er Jahre wieder im Kommen. Der Text setzt sich aus wert-abspaltungskritischer Perspektive mit diversen ökonomiekritischen Ansätzen im Feminismus auseinander, die sich auf Marxsche Analysen beziehen. Dabei steht ein feministisch reformuliertes Verständnis des „prozessierenden Widerspruchs“ und der inneren Schranken des Kapitalismus im Zentrum. Es wird gezeigt, dass die verhandelten Theorien in einem immanenten, reformerischen Rahmen verbleiben. „Care“ etwa wird als utopisches Moment veranschlagt, ohne zu sehen, dass die „weiblich“ konnotierte Reproduktionsdimension dem kapitalistischen Patriarchat schon immer inhärent war und deshalb nicht einfach utopisch in die Zukunft verlängert werden kann. Nicht zuletzt stellt sich die Frage der Finanzierbarkeit von Care-Tätigkeiten, wenn die absolute Mehrwertmasse schmilzt, eine Tatsache, die - selbst wenn frau darum weiß - letztlich doch ignoriert wird. Ebenso wird deutlich gemacht, dass auch arbeitskritische und makrodimensional orientierte Konzepte im Feminismus mit kapitalistisch-patriarchalen Grundsätzen nicht wirklich brechen; stattdessen werden kapitalismuskonforme Lösungen gesucht, selbst wenn die Möglichkeit eines Verfalls des Kapitalismus - vor einigen Jahren noch undenkbar - eingeräumt wird. Prinzipiell sind derartige feministische Überlegungen anfällig für eine Vereinnahmung seitens der Krisenverwaltung im Zuge des „Kollaps der Modernisierung“ (Robert Kurz), der heute an allen Ecken und Enden sichtbar wird.

Robert Kurz
KRISE UND KRITIK II

Der zweite und letzte Teil des nachgelassenen Fragments, eine Propädeutik zur Krisentheorie und zur kategorialen Kritik, setzt sich mit den folgenden Themen auseinander: Dem Versuch, die radikale Krisentheorie bzw. ihre VertreterInnen qua Psychologisierung zu denunzieren; dem Vorwurf einer bloß moralisierenden Kritik, die dem Kapitalismus nur seine mangelnde Funktionsfähigkeit vorhalte; dem Verhältnis von Fundamentalkrise und sozialer Emanzipation; dem Vorwurf, die Wert-Abspaltungskritik mache den Fetisch zum Schöpfer einer Welt von Marionetten; und schließlich der Vorstellung von der Krise als einem bloß subjektiven Willensverhältnis ohne jeden objektiven Grund in den Gesetzmäßigkeiten der fetischistischen Reproduktion.

JustIn Monday
DIE DOPPELTE NATUR DES RASSISMUS

Der Text befasst sich mit dem Zusammenhang von Rassismus und Krise. Es wird entwickelt die These entwickelt, dass sich der Rassismus, so wie er heute existiert, aus zwei gegenläufigen Tendenzen zusammensetzt: Neben stereotypen Fremdbildern beinhaltet er auch Selbstbilder, in denen Aussagen darüber getroffen werden, wie der Zusammenhang von Individuen und Gesellschaft beschaffen ist bzw. beschaffen sein sollte. Sowohl die historische Entstehung dieser Vorstellungen als auch ihre Bedeutung für die rassistischen Subjekte differieren erheblich, weshalb im Text versucht wird, im Anschluss an diese Unterscheidung deutlich zu machen, wie sich diese beiden Pole zum krisenhaften historischen Verlauf der Vergesellschaftung durch den Wert verhalten. Denn so sehr RassistInnen auch auf ihr Recht auf Willkür pochen, sind sie doch nicht in der Lage, ihr Denken beliebig zusammenzusetzen. Der Rassismus hat mit der Krisengeschichte nicht nur seine Inhalte, sondern auch das Verhältnis dieser Inhalte zur Form der gesellschaftlichen Beziehungen gewandelt. Dieser Wandel wird aufgezeigt sowohl durch die Analyse zentraler rassistischer Bilder und Theorien, als auch durch Analyse der Probleme, die verschiedene Varianten antirassistischer Reaktionen mit sich gebracht haben und bringen.

Daniel Späth
FORM- UND IDEOLOGIEKRITIK DER FRÜHEN HEGELSCHEN SYSTEME I

Es handelt sich um den ersten Teil eines auf diese und die nächste Ausgabe von EXIT! verteilten Textes, der sich die Aufgabe stellt, den eminenten Status, den Hegel in linksradikalen Theorien bis heute einnimmt, zu desavouieren. Dieser Status rührt - so die These - aus einer Betrachtungsweise, die den kategorialen Bruch negiert, der sich zwischen Hegel und Marx auftut, und stattdessen radikale Kritik als bloßen Wurmfortsatz Hegelscher Reflexionsfiguren erscheinen lässt, deren subversive Potenz in der Zuspitzung seiner Gedanken bestehe, die nur materialistisch auf den Kopf gestellt werden müssten. Diese These soll im zweiten Teil der Arbeit belegt werden, indem die frühen Hegelschen Systeme einschließlich der „Phänomenologie des Geistes“ einer Form- und Ideologiekritik unterzogen werden. Der vorliegende erste Teil untersucht die frühen Religionsschriften Hegels und den in ihnen, insbesondere in „Der Geist des Judentums“ sich manifestierenden Antizionismus. Es stellt sich die Frage nach dessen Existenzbedingung: Ist der Hegelsche Antizionismus ein religiöser Ausdruck der „Politischen Theologie“ oder doch originäre Konsequenz des bürgerlichen „Politikfetischs“?

Résumés

Roswitha Scholz
FEMINISME - CAPITALISME - ECONOMIE - CRISE

Depuis que la crise s’est aiguisée, dans la deuxième moitié des années 2000, la critique féministe de l’économie est de retour. Ce texte se place dans la perspective de la théorie de la dissociation-valeur  et discute les points de départ de différents courants du féminisme qui se réfèrent à des analyses de Marx. On trouve au centre de celles-ci une conception de la « contradiction en procès » et de la limite interne du capitalisme, reformulée de manière féministe.On montrera que les théories concernées restent dans un cadre immanent réformiste. Ainsi, le « care » est posé comme un moment utopique, sans qu’on voie que la dimension de reproduction, connotée de manière « féminine », est depuis toujours inhérente au patriarcat, et qu’elle ne peut, pour cette raison, être simplement prolongée dans l’avenir, comme une utopie. La question du financement des activités de « care » n’est pas la dernière à se poser, si l’on sait que la masse absolue de survaleur fond, un fait qui pourtant reste finalement ignoré - même quand on sait ce qu’il en est. De même, ce texte met en évidence que les concepts de ce féminisme, même quand ils présentent une critique du travail et une dimension macro-économique, ne font pas vraiment rupture avec les principes du capitalisme patriarcal ; au lieu de cela, ce féminisme cherche des solutions conformes au capitalisme, alors même que l’effondrement du capitalisme - chose impensable il y a encore quelques années - devient une réalité. Dans leur principe, de telles réflexions féministes sont prêtes à admettre une gestion de la crise que constitue « l’effondrement du capitalisme » (Robert Kurz) qui, aujourd’hui, se voit de tous côtés.

Robert Kurz
KRISE ET CRITIQUE II

Dans cette seconde et dernière partie de ses inédits, qui sont une propédeutique pour la théorie des crises et la critique catégorielle, Robert Kurz s’attaque aux sujets suivants : la tentative de dénoncer la théorie radicale de la crise et en particulier ses représentants en la psychologisant ; l’accusation qu’il ne s’agirait que d’une critique moralisatrice qui prend en compte dans le capitalisme que son manque de capacité fonctionnelle ; le lien de la crise fondamentale et de l’émancipation sociale ; l’accusation prétendant que la critique de la dissociation-valeur fait du fétiche le créateur d’un monde de marionnettes ; et finalement la conception de la crise selon laquelle elle serait un simple rapport entre des volontés subjectives, qui n’aurait pas de fondement objectif dans les lois de la reproduction fétichiste.

JustIn Monday
LA DOUBLE NATURE DU RACISME

Ce texte a pour objet le lien du racisme avec la crise. La thèse qui y est développée, c’est que le racisme, tel qu’il existe aujourd’hui, présente deux tendances contradictoires. A côté d’images stéréotypées de l’étranger, il comprend aussi des images de soi qui inclut des affirmations sur la façon dont s’établit le rapport entre les individus et la société, ou la façon dont ce rapport devrait s’établir. Ces représentations présentent de grandes différences, que ce soit dans leur formation historique ou dans leur signification pour les sujets racistes. Et c’est pourquoi, pour établir ces différences, on cherche dans ce texte à éclaircir le lien que ces deux pôles ont avec le processus historique de crise que la valeur imprime à la socialisation. Car les racistes ont beau affirmer leur droit au libre-arbitre, leur situation ne leur permet pas de penser ce qu’ils veulent. Avec l’histoire des crises, le racisme n’a pas changé seulement dans ses contenus, il a aussi changé le rapport que ces contenus entretiennent avec la forme des relations sociales. On voit ce changement,  non seulement en analysant les principales images et théories racistes, mais encore en analysant les problèmes que les différentes variantes des réactions antiracistes ont entraîné, et entraînent encore.

Daniel Späth
CRITIQUE FORMELLE ET IDEOLOGIQUE DES PREMIERS SYSTEMES DE HEGEL I

Il s’agit de la première partie d’un texte réparti sur ce numéro de EXIT ! et sur le numéro suivant, et qui se donne comme tâche de destituer Hegel du statut éminent qu’il a aujourd’hui dans les théories de l’extrême-gauche. Ce statut - c’est la thèse qu’on présente - repose sur une manière de voir qui nie la rupture catégorielle qui a lieu entre Hegel et Marx, et qui, au lieu de cela, présente la critique radicale comme une simple continuation des figures hegeliennes de la pensée. Sa puissance subversive résiderait prétendument dans l’accentuation de sa pensée, et celle-ci n’aurait, dans un mouvement matérialiste, qu’à être remise sur ses pieds. La thèse de cet essai sera démontrée dans une deuxième partie, qui soumettra à une critique formelle et idéologique les premiers systèmes de Hegel, y compris la Phénoménologie de l’Esprit. La première partie, ici présentée, examine les premiers écrits sur la religion et l’antisionisme qui s’y manifeste, en particulier dans l’Esprit du judaisme.On se demandera pourquoi il y a un antisionisme chez Hegel : est-il une expression religieuse de la « théologie politique», ou est-il en réalité, à l’origine, la conséquence du « fétichisme de la politique » bourgeois ?

Resúmenes

Roswitha Scholz
FEMINISMO - CAPITALISMO - ECONOMÍA - CRISIS

Una crítica feminista de la economía reaparece desde el agravamiento de la crisis en la segunda mitad de la década de 2000. El texto se refiere, desde la perspectiva de la crítica de la disociación y del valor, a los distintos enfoques de la crítica feminista de la economía que tienen la referencia de los análisis de Marx. En su centro se sitúa la comprensión de la "contradicción en proceso" y del límite interior del capitalismo reformulada a la manera feminista. Se muestra que estas teorías se mantienen dentro de un marco de reforma inmanente. Así, el "care" se postula como momento utópico, sin ver que la parte de la reproducción connotada a lo "femenino" siempre ha sido inherente al patriarcado capitalista y por lo tanto no se puede ampliar en el futuro como una mera utopía. No menos importante es la cuestión de la viabilidad financiera de las actividades de "care" si la masa absoluta de la plusvalía se derrite, lo que resulta ser ignorado - incluso cuando se sabe. También está claro que, incluso las concepciones feministas de orientación crítica del trabajo y de dimensión macro, realmente no rompen con los principios del patriarcado capitalista si no que en su lugar buscan soluciones compatibles con el capitalismo, aún suponiendo - algo impensable hace unos años - la posibilidad de colapso del mismo. Tales reflexiones críticas feministas son propensas a la apropiación por la gestión de la crisis en el "colapso de la modernización" (Robert Kurz), que ahora está a la vista en todas partes.

Robert Kurz
CRISIS Y CRÍTICA - II

En la segunda y última parte del fragmento póstumo, una propedéutica a la teoría de la crisis y a la crítica categorial, se tratan los siguientes temas: el intento de denunciar a la teoría radical de la crisis o sus representantes a través de la psicologización; la acusación de que esto sería mera crítica moral del capitalismo y que sólo reprocha su falta de capacidad funcional; la relación entre la crisis fundamental y la emancipación social; la acusación de que la crítica de la disociación y del valor haría del fetiche el creador de un mundo de marionetas; y finalmente la idea de la crisis como relación de voluntad meramente subjetiva, sin ninguna base objetiva en las leyes de reproducción fetichista.

JustIn Monday
LA NATURALEZA DUAL DEL RACISMO

El texto aborda la relación entre el racismo y la crisis. Desarrolla la tesis de que el racismo que existe en la actualidad consta de dos tendencias opuestas: más allá de las imágenes estereotipadas de los extraños, incluye también imágenes de sí mismo que contienen declaraciones sobre cómo se establece o debería establecer la relación entre los individuos y la sociedad. Tanto la evolución histórica de estas representaciones cuanto su importancia para los sujetos racistas varían considerablemente. Por eso el texto busca, en relación con esta distinción, aclarar cómo estos dos polos se comportan en el desarrollo histórico de la crisis de la socialización por el valor. Porque, por mucho que los/las racistas invoquen su derecho a la libre voluntad, su situación no les permite formar sus ideas libremente. Con la historia de la crisis el racismo ha cambiado no sólo sus contenidos, sino también la relación de estos contenidos con la forma de las relaciones sociales. Este cambio se demostró tanto en el análisis de las principales imágenes y teorías racistas como en el análisis de los problemas que las diferentes variantes de las reacciones anti-racistas han aportado y aportan.

Daniel Späth
CRÍTICA DE LA FORMA Y DE LA IDEOLOGÍA DE LOS PRIMEROS SISTEMAS DE HEGEL - I

Esta es la primera parte de un texto dividido entre éste y el próximo número de EXIT! que asume la tarea de desmitificar el estatuto eminente hasta hoy ocupado por Hegel en las teorías radicales de la izquierda. La tesis es que este estatuto se basa en una forma de ver que niega la ruptura categorial que se establece entre Hegel y Marx y, en cambio, presenta la crítica radical como un mero apéndice de las figuras del pensamiento hegeliano, cuyo poder subversivo procedería de la acentuación de sus ideas, las cuales sólo tendrían que ser puestas al revés de manera materialista. Esta tesis se demuestra en la segunda parte del texto, en la que los primeros sistemas de Hegel, como la Fenomenología del Espíritu, se someterán a una crítica de la forma y de la ideología. La primera parte se presenta aquí y examina los primeros escritos de Hegel sobre la religión y el antisionismo que en ella se manifiesta, sobre todo en El espíritu del judaísmo. Esto plantea la pregunta de por qué el antisionismo: ¿es una expresión de la "teología política" religiosa o, de hecho, una consecuencia original del "fetiche de la política" burgués?

Resumos

Roswitha Scholz
FEMINISMO - CAPITALISMO - ECONOMIA - CRISE

A crítica feminista da economia está de volta desde que a crise se agudizou na segunda metade da década de 2000. O texto ocupa-se, na perspectiva da crítica da dissociação e do valor, de diversas abordagens feministas de crítica da economia que têm por referência análises de Marx. No centro delas está uma compreensão da “contradição em processo” e do limite interno do capitalismo reformulada à maneira feminista. Mostra-se que as referidas teorias permanecem num quadro imanente, reformista. Assim o "care" é posto como momento utópico, sem ver que a dimensão da reprodução conotada com o “feminino” sempre foi inerente ao patriarcado capitalista e não pode por isso ser prolongada no futuro como simples utopia. Não em último lugar coloca-se a questão da financiabilidade das actividades de “care”, se a massa absoluta de mais-valia se derrete, um facto que acaba por ser ignorado - mesmo quando é sabido. Também se evidencia que no feminismo mesmo concepções de orientação crítica do trabalho e de dimensão macro não rompem realmente com os princípios do patriarcado capitalista; em vez disso procuram-se soluções compatíveis com o capitalismo, mesmo que se admita - coisa impensável há poucos anos - a possibilidade de colapso do mesmo. No essencial tais reflexões feministas são susceptíveis de apropriação pela administração da crise, na senda do "colapso da modernização" (Robert Kurz) que hoje está à vista em toda a parte.

Robert Kurz
CRISE E CRÍTICA - II

A segunda e última parte do fragmento póstumo, uma propedêutica à teoria da crise e à crítica categorial, trata dos seguintes temas: a tentativa de denunciar a teoria radical da crise ou os seus representantes pela via da psicologização; a acusação de que se trataria de uma crítica meramente moralista que só reprova no capitalismo a sua falta de capacidade funcional; a relação entre crise fundamental e emancipação social; a acusação de que a crítica da dissociação e do valor faria do fetiche o criador de um mundo de marionetas; e, finalmente, a ideia da crise como uma relação de vontade meramente subjectiva, sem qualquer fundamento objectivo nas leis da reprodução fetichista.

JustIn Monday
A DUPLA NATUREZA DO RACISMO

O texto trata da relação entre racismo e crise. Desenvolve-se a tese de que o racismo hoje existente é composto por duas tendências opostas: além de imagens estereotipadas dos estranhos, também inclui auto-imagens contendo afirmações sobre o modo como se estabelece ou devia estabelecer a relação entre os indivíduos e a sociedade. Tanto a evolução histórica destas representações como a sua importância para os sujeitos racistas variam consideravelmente, razão pela qual o texto procura, em conexão com essa distinção, esclarecer como estes dois pólos se comportam no desenvolvimento histórico de crise da socialização pelo valor. Pois, por muito que os/as racistas invoquem o seu direito ao livre arbítrio, a sua situação não lhes permite formar o pensamento livremente. Com a história de crises o racismo mudou não só os seus conteúdos, mas também a relação desses conteúdos com a forma das relações sociais. Esta mudança é demonstrada tanto pela análise das principais imagens e teorias racistas como pela análise dos problemas que as diferentes variantes de reacções anti-racistas trouxeram e trazem.

Daniel Späth
CRÍTICA DA FORMA E DA IDEOLOGIA DOS PRIMEIROS SISTEMAS DE HEGEL - I

Esta é a primeira parte de um texto dividido entre a presente e a próxima edição da EXIT! que assume a tarefa de desmistificar o estatuto eminente até hoje ocupado por Hegel nas teorias radicais de esquerda. A tese é que esse estatuto assenta numa maneira de ver que nega a ruptura categorial estabelecida entre Hegel e Marx e, em vez disso, apresenta a crítica radical como um mero apêndice das figuras do pensamento hegeliano, cujo poder subversivo residiria na acentuação das suas ideias, que apenas teriam de ser viradas de pernas para o ar de maneira materialista. Esta tese será demonstrada na segunda parte do trabalho, em que os primeiros sistemas de Hegel, incluindo a Fenomenologia do Espírito, serão submetidos a uma crítica da forma e da ideologia. A primeira parte aqui apresentada examina os primeiros escritos de Hegel sobre a religião e o anti-sionismo aí manifesto, especialmente em O Espírito do judaísmo. Coloca-se a questão do porquê do anti-sionismo: será ele uma expressão religiosa da "teologia política" ou, na realidade, consequência originária do "fetiche da política" burguês?

Riassunti

Roswitha Scholz
FEMMINISMO - CAPITALISMO - ECONOMIA - CRISI

La critica femminista dell’economia ha fatto il suo ritorno, da quando la crisi si è aggravata nella seconda metà degli anni 2000. Il testo si occupa, nella prospettiva della critica del valore e della scissione, di diversi approcci femministi alla critica dell’economia che si riferiscono alle analisi marxiane. Al centro si trova una concezione, riformulata in termini femministi, della « contraddizione in processo » e dei limiti interni del capitalismo. Si dimostrerà che le teorie in questione permangono in un quadro immanente e riformista. Il care, per esempio, è considerato come un momento utopico, senza vedere che la dimensione riproduttiva connotata come « femminile » è sempre stata inerente al patriarcato capitalista e perciò non può semplicemente venir prolungata nel futuro come un’utopia. Non per ultima si pone la questione della finanziabilità delle attività legate al care, quando la massa assoluta di plusvalore diminuisce - un fatto che in fin dei conti viene ignorato, pur conoscendolo. Si evidenzierà ugualmente che i concetti di questo femminismo, perfino quando presentano una critica del lavoro e una dimensione macro-economica, non rompono veramente con i principi capitalisti e patriarcali ; si cercano invece delle soluzioni compatibili con il capitalismo, anche quando si ammette la possibilità di un declino del capitalismo - che pochi anni fa era ancora impensabile. In linea di principio, tali concetti femministi sono suscettibili di essere recuperati per una gestione della crisi nel quadro del « collasso della modernizzazione » (Robert Kurz) che oggi diventa visibile ovunque.

Robert Kurz
CRISI E CRITICA II

La seconda, e ultima, parte del frammento postumo, una propedeutica alla teoria della crisi e alla critica categoriale, verte sui temi seguenti: il tentativo di denunciare la teoria radicale della crisi, i suoi rappresentanti e le sue rappresentanti attraverso la psicologizzazione ; l’accusa secondo cui si tratterebbe di una critica puramente moralista che rinfaccia al capitalismo solo i suoi difetti di funzionamento ; la relazione tra crisi fondamentale e emancipazione sociale ; il rimprovero secondo cui la critica del valore e della scissione farebbe del feticcio il creatore di un mondo di marionette ; e finalmente la concezione della crisi in quanto puro rapporto soggettivo tra volontà senza alcun fondamento oggettivo nelle leggi della riproduzione capitalista.

JustIn Monday
LA DOPPIA NATURA DEL RAZZISMO

Il testo tratta del nesso tra razzismo e crisi. Si avanza la tesi che il razzismo, così come esiste oggi, si compone di due tendenze opposte : accanto alle immagini stereotipate dell’altro contiene anche immagini di sé, che contengono delle affermazioni su quale è, o dovrebbe essere, il rapporto tra gli individui e la società. Tanto l’evoluzione storica di queste rappresentazioni quanto la loro importanza per i soggetti razzisti variano considerevolmente, e per questo motivo il testo cerca, seguendo questa distinzione, di chiarire come questi due poli si comportano rispetto allo svolgimento storico della crisi della socializzazione operata dal valore. Infatti, per quanto i razzisti insistano sul loro diritto all’arbitrio, loro non sono in grado di comporre il loro pensiero come vogliono. Con la storia delle crisi, il razzismo ha cambiato non solo i suoi contenuti, ma anche il rapporto di questi contenuti con la forma dei rapporti sociali. Si dimostra questo mutamento tanto  attraverso l’analisi di immagini e teorie razziste centrali, quanto attraverso l’analisi dei problemi che diverse varianti delle reazioni antirazziste hanno comportato e comportano ancora.

Daniel Späth
CRITICA DELLA FORMA E DELL’IDEOLOGIA DEI PRIMI SISTEMI DI HEGEL -I

Si tratta della prima parte di un testo che continuerà nel prossimo numero di EXIT! e che si propone di demolire lo statuto eminente che Hegel occupa fino a oggi nelle teorie della sinistra radicale. Secondo la tesi qui esposta, questo statuto eminente deriva da un’impostazione che nega la rottura categoriale che ha avuto luogo tra Hegel e Marx, per presentare invece la critica radicale come una semplice appendice alle figure della riflessione di Hegel, la cui potenza sovversiva consisterebbe nella radicalizzazione dei suoi pensieri che si devono solo mettere a testa in sù. Questa tesi sarà dimostrata nella seconda parte dell’articolo, in cui i primi sistemi hegeliani, inclusa la Fenomenologia dello spirito, saranno sottoposti a una critica della forma e dell’ideologia. La prima parte qui presentata analizza i primi scritti sulla religione di Hegel e l’antisionismo che vi si manifesta, soprattutto in Lo spirito del giudaismo. Bisogna interrogarsi sulle sue condizioni di esistenza : l’antisionismo hegeliano è un’espressione religiosa della « teologia politica », oppure è piuttosto una conseguenza originaria del « feticcio della politica » borghese ?